Afghanistan : retour sur l’histoire d’un pays dans lequel les « Grands » se font surprendre

Ces dernières années, nous entendions souvent parler de l'Afghanistan et très souvent en mal. On nous a parlé d'un pays gangrené par les guerres et le terrorisme, on a parlé d'intervention américaine, d'instabilité politique, de talibans, de libertés menacées, de divisions ethniques, mais qui connaît réellement l'histoire de l'Afghanistan ? Pour comprendre le sujet, j'ai cherché à travers un principe qui m'est cher, à connaître le passé pour mieux comprendre le présent, et cela m'a permis de comprendre que si nous en sommes là actuellement, ce n'est pas le fruit du hasard et que le retour des talibans au pouvoir en 2021 après 17 ans d'absence s'explique par de nombreux faits. Il s'agira d'analyser l'histoire géopolitique de l'Afghanistan afin de comprendre l'actualité récente.

Christine Mboma s’offre le scalp de Sha’Carri Richardson pour sa première en DL (Brussels Diamond League 2021)

Quelques jours après le meeting de Paris, nous nous retrouvons à Bruxelles pour l'avant dernière étape de la Diamond League. Ce soir nous avons retrouvé l'Américaine Sha'Carri Richardson de retour après son très controversé 100m à Eugene mais elle a fini à la 4e place, dans une course rapide remporté par la jeune Namibienne Christine Mboma, s'illustrant comme l'étoile montante du sprint africain et mondial.

Elaine Thompson-Herah battue par sa compatriote Shelly-Ann Fraser en 10.60s (Diamond League 2021)

Après avoir écrasé sans aucune peine l'Américaine Sha'Carri Richardson sur son propre sol lors du meeting de Eugene le week-end dernier, l'ouragan jamaïcain a décidé de récidiver en s'abattant cette fois-ci au meeting de Lausanne. Et on n'a pas été déçu car Shelly-Ann FRASER-Pryce a battu Elaine Thompson-Herah pour la première fois depuis le 25 juin dernier et en plus avec la manière, en 10.60s (+1,7m/s) à 34 ans ! De quoi alimenter encore plus la course folle au record du monde de Florence Griffith-Joyner (10.49s +0.0m/s) paraissant de plus en plus atteignable.

Josephine Baker : histoire d’une Afro-américaine tombée amoureuse de la France

Il y a quelques jours, nous apprenions la « panthéonisation » de Josephine Baker pour le 30 novembre prochain. C'était une femme Afro-américaine de naissance certes, mais c'est outre-Atlantique qu'elle trouva le bonheur, dans le monde européen des années de l'entre-deux-guerres. C'est dans cet univers profondément marqué par le racisme et les clichés qu'elle fera connaître sa légende, ce qui était d'autant plus compliqué pour une femme et en plus de couleur. Néanmoins, Josephine Baker connaît une postérité assez complexe, car elle est accusée par ses détracteurs d'avoir alimenté et perpétué l'image du « noire sauvage » et de ne pas avoir suffisamment soutenu la cause noire tandis que d'autres la considère comme une grande figure de la Résistance française. Son histoire est beaucoup plus complexe que cela et il s'agira ici, de nous nous intéresser à la vie de cette femme qui a réussi à marquer son époque en devenant la première icône noire de son temps et une figure emblématique pour la patrie qui l'a adopté.