C'est officiel, Mbappé ne partira pas du PSG cette année, malgré l'énorme dernière proposition faite par le Real Madrid de 200 millions d'euros. Cela faisait un moment que nous entendions que la star parisienne allait partir cet été, pour rejoindre son club de cœur le Real Madrid mais (...)
Après avoir écrasé sans aucune peine l'Américaine Sha'Carri Richardson sur son propre sol lors du meeting de Eugene le week-end dernier, l'ouragan jamaïcain a décidé de récidiver en s'abattant cette fois-ci au meeting de Lausanne. Et on n'a pas été déçu car Shelly-Ann FRASER-Pryce a battu Elaine Thompson-Herah pour la première fois depuis le 25 juin dernier et en plus avec la manière, en 10.60s (+1,7m/s) à 34 ans ! De quoi alimenter encore plus la course folle au record du monde de Florence Griffith-Joyner (10.49s +0.0m/s) paraissant de plus en plus atteignable.
Il y a quelques jours, nous apprenions la « panthéonisation » de Josephine Baker pour le 30 novembre prochain. C'était une femme Afro-américaine de naissance certes, mais c'est outre-Atlantique qu'elle trouva le bonheur, dans le monde européen des années de l'entre-deux-guerres. C'est dans cet univers profondément marqué par le racisme et les clichés qu'elle fera connaître sa légende, ce qui était d'autant plus compliqué pour une femme et en plus de couleur. Néanmoins, Josephine Baker connaît une postérité assez complexe, car elle est accusée par ses détracteurs d'avoir alimenté et perpétué l'image du « noire sauvage » et de ne pas avoir suffisamment soutenu la cause noire tandis que d'autres la considère comme une grande figure de la Résistance française. Son histoire est beaucoup plus complexe que cela et il s'agira ici, de nous nous intéresser à la vie de cette femme qui a réussi à marquer son époque en devenant la première icône noire de son temps et une figure emblématique pour la patrie qui l'a adopté.
Fraichement médaillé de bronze sur 100m et médaillé sur 200m lors des Jeux olympiques d'été à Tokyo, le Canadien a décidé, dans un stade que lui aussi connait bien et ce depuis l'époque de la NCAA, là où il était en rivalité avec Trayvon Bromell back in 2015, de reprendre sa revanche sur Fred KERLEY (médaillé d'argent à Tokyo sur 100m)
Après avoir réalisé une course dans ses standards une heure auparavant sur 100m dans le remake de la finale des JO de Tokyo, la suissesse Mujinga Kambundji va surprendre tout le monde en remportant le 200m du Prefontaine Classic devant Allyson Felix, Gabrielle Thomas et Dina Asher-Smith.
C'était cette nuit sur la rapide piste mythique d'Eugene de l'Université de l'Oregon, au Hayward Field. La jamaïcaine fraîchement double championne du 100m et du 200m aux Jeux Olympiques de Tokyo a remporté sa première course de la saison en ligue de diamant en réalisant un chrono incroyable.
Les bahaméens Steven Gardiner et Shaunae Miller écrivent l'histoire sur 400m lors des Jeux Olympiques de Tokyo en remportant successivement la médaille d'or.
Cette année, nous avons le droit à une édition olympique plus ouverte que lors des trois dernières car nous n'avons plus le huit fois champion olympique et recordman du monde dans les starting blocks. Ce qui a permis à L.M JACOBS de succéder à BOLT sur 100m il y a quelques jours mais maintenant reste à savoir qui sera l'heureux successeur du sprinter jamaïcain sur 200m, lui qui est retraité depuis les championnats du monde à Londres de 2017.
Comme à chaque olympiade, l'épreuve de 200m est la seconde épreuve de sprint la plus suivie après le 100m. Le demi tour de piste est très relevé cette année et s'annonce serré entre les trois jamaïcaines et l'américaine Gabrielle Thomas, auteure de la meilleure performance mondiale de l'année sur la distance grâce à son 21.63 établi lors des US Trials à Eugene au mythique Hayward Field. Elaine Thompson-Herah pourra t-elle stopper la meilleure performeuse de l'année et remporter le doublé sur deux JO ?